Dans son numéro d’octobre 2009, le magazine Protégez-Vous présentait un article intéressant sur les saunas résidentiels à infrarouge. On y soulignait notamment à quel point il est important qu’un sauna de ce type, pourvu d’éléments chauffants électriques, satisfasse aux normes d’organismes reconnus, comme Canadian Standard Association (CSA) et Underwriter’s Laboratories (UL) afin de prévenir les risques d’électrocution et d’incendie.
L’article cite également le dermatologue Lawrence E. Gibson qui avait écrit, sur le site de la célèbre clinique Mayo, qu’il n’y a aucune preuve qu’un sauna contribue à évacuer les toxines du corps. Or, quelques études américaines avaient démontré dès les années 1980 que le sauna permet de réduire la charge corporelle des pesticides et autres polluants environnementaux. Ces études sont mentionnées par le pionnier américain de la médecine environnementale, le Dr William J. Rea, dans son livre Optimum Environments For Optimum Health and Creativity.
À son Environmental Health Center (ehcd.com), une clinique privée située à Dallas, au Texas, ce célèbre cardiologue a traité plus de 2 000 personnes dont l’organisme affichait des taux élevés de jusqu’à 300 polluants chimiques.
Le sauna à infrarouge jumelé à l’exercice modéré et à des massages corporels fait partie du traitement de désintoxication qu’il prescrit en plus
de la consommation d’aliments certifiés biologiques, d’eau et d’air purs.
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