Alors que mon objectif premier était d'arrêter les compteurs intelligents, je me suis rendu compte que j'avais besoin d'un moyen de survivre sans passer beaucoup de temps dans ce que j'avais trouvé être des environnements toxiques quotidiens. Warren Woodward, qui menait la charge contre les compteurs intelligents en Arizona, recevait des appels de personnes qui avaient besoin d'aide. Il m'a dit : « Tu dois te réinventer. » C'est ce que j'ai fait, car je commençais à être assez doué pour obtenir des résultats, c'est-à-dire que je facturais une somme modique pour aider quelqu'un à nettoyer l'exposition aux champs électromagnétiques à son domicile.
Cas n° 1 : Un jour, j'ai reçu un appel d'une femme qui voulait que je vienne chez elle dans le quartier de Moon Valley, à Phoenix. Elle avait des problèmes de sommeil et avait obtenu mon nom par quelqu'un que j'avais aidé.
Lorsque je suis arrivée chez elle, j'entendais depuis la rue un fort « woo woo woo » émis par une personne à l'intérieur qui semblait atteinte d'autisme ou du syndrome de Gilles de la Tourette. Lorsque je suis entrée, le chaos était intense. Un mâle de taille adulte se débattait sur une chaise et portait un casque qui le protégeait lorsqu'il essayait de ramasser des objets et de se cogner la tête avec. Elle a affirmé que c'était un jour calme et que son état s'aggravait. Je n'avais jamais rien vu de tel auparavant et j'étais un peu bouleversé. J'étais là pour elle, mais je me suis dit que j'étais en fait là pour lui.
Elle m'a montré où elle dormait. J'ai allumé mon analyseur de radiofréquences et j'ai constaté qu'un moniteur vidéo pour bébé transmettait des données d'un côté à l'autre de la maison. Je suis ensuite entré dans la chambre de son fils et j'ai constaté que l'autre caméra transmettait un signal très fort. Il était assis sur une chaise et se frappait la tête tout en continuant à émettre le son « woo woo ». Nous avons immédiatement débranché le moniteur et sommes allés au tableau électrique pour couper le disjoncteur principal de la maison. Peu après, il s'est assis calmement sur sa chaise en émettant un son très faible, jusqu'à ce qu'il s'arrête.
La maison avait un compteur intelligent et de l'électricité sale. Le compteur a été retiré, le babyphone a été câblé et l'électricité sale a été nettoyée. La mère (Gayle Nobel) est une auteure qui écrit sur l'autisme. Inutile de dire qu'elle a été stupéfaite du résultat. Son témoignage figure sur mon site web. Elle a écrit que son fils avait besoin de médicaments pour dormir et qu'il n'allait toujours pas bien. Ce n'est qu'après avoir éliminé l'exposition qu'il a dormi huit heures par nuit sans aucun médicament. Peu après, j'ai commencé à recevoir des demandes de renseignements concernant cette exposition et l'autisme.
Cas n° 2 : On m'a demandé de visiter un foyer à Sedona où l'on s'occupait de personnes atteintes du syndrome de Gilles de la Tourette et d'autisme extrême. Lorsque je suis arrivée, on aurait dit une maison de la douleur, avec des gémissements et des plaintes. Une femme ne pouvait pas marcher mais se traînait sur le sol, dans la misère. Une autre gémissait bruyamment depuis une chambre située de l'autre côté de la maison. Comme il s'agissait d'une maison à deux étages, il n'était pas surprenant de trouver des fils dans le sol qui irradiaient de l'électricité sale dans toute la maison. Les habitants se sont débarrassés de leur compteur intelligent et des autres appareils qui produisaient de l'électricité sale, et l'électricité sale restante a été nettoyée à l'aide de filtres. J'ai visité le foyer quelques semaines plus tard et la fille qui se tirait sur le sol était maintenant heureuse et on pouvait voir qu'elle voulait dire quelque chose. Le mâle qui était cloué au lit et gémissait bruyamment a cessé de le faire. Tous les autres se portaient bien et les parents d'accueil ont remarqué une baisse significative de leur taux de glycémie.
Cas n° 3 : un couple indien de Chandler avait un fils diagnostiqué autiste qui souffrait énormément, pleurait et se débattait. Une fois le compteur intelligent retiré et les filtres Stetzerizer installés, il s'est calmé et les parents étaient ravis. Les gens ne me rappellent que pour me remercier et me raconter leur guérison, ou lorsque quelque chose ne va pas et qu'ils se sentent à nouveau mal. J'aime bien sûr la première de ces options, mais je veux toujours m'assurer que la personne ne souffre plus comme j'ai souffert. Eh bien, ils ont appelé et je suis retourné sur place; le fils souffrait à nouveau. La solution était simple : il suffisait de réinstaller le filtre qui avait été enlevé. Je suis parti en leur disant de prendre des nouvelles et, six mois plus tard, ils l'ont fait en me remerciant.
Je ne suis pas médecin et je ne prétends pas l'être. L'équipement que j'utilise pour trouver l'exposition est également utilisé par l'armée américaine. Les données scientifiques ont été publiées par la Marine américaine dans les années 70. Les radiofréquences dans la gamme des kHz (2-150 kHz) sont un sous-produit des appareils et dispositifs de nouvelle technologie et ne devraient pas se trouver dans notre réseau électrique, mais personne ne les réglemente. Alors que tout le monde s'intéresse aux contaminants alimentaires, cette exposition invisible aux sous-porteuses kHz n'est pas prise en compte. Malheureusement, l'équipement permettant de mesurer cette exposition est coûteux. Il ne suffit pas d'appuyer sur le bouton d'alimentation d'un petit appareil de mesure sans fil et de l'agiter dans tous les sens. La formation est généralement dispensée dans les universités qui délivrent des diplômes en génie électrique.
J'ai un fils autiste et deux petits-enfants qui le sont également. Je vois la différence lorsqu'ils ne sont pas exposés à ce rayonnement de kHz non réglementé. Tant que cette exposition sera autorisée dans la société, il n'y aura pas de changement positif. Et d'après les conclusions de l'étude de l'Institut de recherche médicale de la marine américaine, la situation ne fera qu'empirer si cette exposition est ignorée.
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