Il existe un consensus de plus en plus universel voulant que les excréments humains devraient fertiliser la terre plutôt que polluer l'eau. L'urée présente dans l'urine contient 60 à 80 % de l'azote contenu dans nos déjections. Les algues bleues, ça vous dit quelque chose?
Il a fallu plus de 100 ans avant que l’urinoir sans eau de devienne une solution de rechange acceptée. On peut parier que les pressions environnementales de plus en plus lourdes auxquelles nous sommes soumis pourront favoriser la généralisation des toilettes séparatrices d'urine dans une échéance plus rapprochée. Voici un excellent texte d'André Dupuis, rédacteur en chef du magazine québécois Intermécanique du bâtiment
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