« Tous ces gens à qui j'ai donné de l'(antipsychotique) Haldol et que j’ai attachés étaient probablement malades à cause de leur environnement, dit Dr Nagy. Vous n'êtes pas un cas psychiatrique si vous entendez la radio derrière votre nez ou vos dents à cause d’implants métalliques. Mais les psychiatres sceptiques sont souvent empoisonnés eux aussi ! »
« Tous ces gens à qui j'ai donné de l'(antipsychotique) Haldol et que j’ai attachés étaient probablement malades à cause de leur environnement, dit Dr Nagy. Vous n'êtes pas un cas psychiatrique si vous entendez la radio derrière votre nez ou vos dents à cause d’implants métalliques. Mais les psychiatres sceptiques sont souvent empoisonnés eux aussi ! »

Premier article d'une série commanditée par Safe Living Technologies (SLT)

L'urgentologue Lisa Nagy a failli mourir à cause des pesticides et des moisissures qui proliféraient dans sa maison et qui l’ont rendue hypersensible aux produits chimiques et à toute forme d’électricité. « Mes études médicales ne m'avaient pas préparée à cela. Je croyais que j'étais déprimée et que je devais voir un psychiatre. J'étais tellement diminuée sur le plan neurologique après quelques années que mes muscles s’étaient affaiblis à un point tel que je n'avais plus la force d'intuber mes patients ou de déplacer l’appareil pour les échographies à l'urgence. C'est incroyable, j’étais encore capable de penser et de faire mon travail d'urgentologue alors que j'étais en train de mourir », m'a confié ce médecin en entrevue vidéo le 28 juillet dernier. Ce n'est qu'après avoir quitté la pollution de Los Angeles — où elle survivait en portant un masque à gaz — pour vivre et travailler sur l'île de Martha's Vineyard, au Massachusetts, qu'elle a pu se guérir complètement de ses hypersensibilités environnementales et diverses autres maladies.

Notre entrevue était en prévision de l'EMF Conference – une conférence pour les professionnels de la santé portant sur le diagnostic et le traitement des problèmes de santé causés par les champs électromagnétiques (CEM) – à laquelle j'ai assisté en septembre dernier à Santa Cruz, en Californie. Portant sur un grand nombre de maladies chroniques, cette conférence fut la plus fascinante que j'ai couverte en 30 ans de carrière, la première où l'excellence de chacun des 30 conférenciers fut saluée par une ovation à tout rompre. (L'ensemble des 21 présentations se vend 295 $ US sur emfconference.com/video-sales.)

Ayant attiré environ 200 participants, la plupart des médecins et autres professionnels de la santé, cette conférence avait également pour but d’honorer William J. Rea, chirurgien thoracique et cardiovasculaire texan décédé subitement à l'âge de 83 ans en août 2018. Au début de 2018, ce pionnier de la médecine environnementale (non reconnue par les écoles de médecine classiques), que j'avais rencontré à deux reprises et avec qui j'étais en contact depuis une vingtaine d'années, m'avait invité à cette conférence qu'il souhait tenir à Dallas où il dirigeait le Environmental Health Center-Dallas qu'il avait fondé en 1974. En 44 ans, il y a traité environ 30 000 patients empoisonnés par la pollution chimique et électrique, dont plusieurs médecins canadiens et américains, comme Lisa Nagy qui estime que le Dr Rea lui a sauvé la vie. (Le Texas Board of Medicine a voulu lui retirer son permis médical parce qu'il pratique la médecine environnementale mais l'organisme n'a jamais réussi, ayant échoué à démontrer qu'il avait fait du tort à ses patients. Voir ici l'entrevue qu'il et Dr Nagy ont accordée à l'émission Nightline de NBC en 2008.

Bien sûr, la génétique charge le fusil, mais c'est l'environnement et nos habitudes de vie qui tirent sur la gâchette et font déborder le vase de notre corps surchargé de polluants, explique Dre Nagy. La médecine environnementale consiste à traiter les patients dans un environnement sans pollution en combinant des thérapies médicales allopathiques et naturelles. Ce type de médecine n'est enseignée et pratiquée qu'à de rares endroits par d'anciens collègues du Dr Rea, dont plusieurs ont été ses patients, notamment aux Centres de médecine environnementale de Dallas, de Buffalo (New York) et de Martha's Vineyard, à la clinique de santé environnementale de l’Hôpital Women’s College affilié à l’Université de Toronto, à celle d'Ottawa, à celle du gouvernement de la Nouvelle-Écosse à Halifax, ainsi qu'à la clinique médicale Breakspear, en Angleterre. Une liste de professionnels de la santé nord-américains est disponible sur le site de SLT

Les deux médecins qui ont pris la relève du Dr Rea à Dallas, Dre Elizabeth Seymour et Dre Stephanie McCarter, étaient parmi les conférenciers à Santa Cruz. Dre Nagy fut certes la plus captivante, avec son récit à la fois tragique, drôle et plein d'espoir.

Son message à ses collègues médecins confrontés à des maladies complexes : « Toutes les maladies chroniques devraient être envisagées sous la loupe environnementale. Personne n’est un zéro sur l’échelle de l’électrosensibilité, nous sommes tous entre un et dix. Les symptômes des maladies environnementales sont souvent confondus avec ceux de d’autres maladies, comme la maladie de Lyme, et traités à tort avec des antibiotiques dont l’usage prolongé tue la flore intestinale. (...) Les moisissures sont les premières causes de l’électrohypersensibilité (EHS) et les hypersensibilités chimiques et électriques vont de pair. En traitant une condition, on règle l’autre. (...) Écoutez et croyez vos patients, mais soyez vigilants et consultez d’autres experts. Faites ce qu'ils vous recommandent, n'essayez pas de tout faire vous-mêmes. Respectez l’éthique et vous ne perdrez pas vos patients. »

Il est important de trouver les causes sous-jacentes des hypersensibilités environnementales afin d’améliorer la résistances des patients aux produits chimiques et à l'électricité. Parmi les causes pouvant entrainer des problèmes de santé non diagnostiqués ou mal traités, on retrouve un empoisonnement causé par le monoxyde de carbone, les pesticides, les métaux lourds et les moisissures, une commotion cérébrale et des carences en vitamines et minéraux. « Alors, si vous êtes sensible à l'électricité, vous ne pouvez pas vous attarder uniquement à d'électricité, insiste Dre Nagy. Il faut trouver les raisons de votre décompensation cellulaire, de l’incapacité de vos mitochondries cellulaires de produire de l'énergie, de la production de protéines de choc thermique et d'histamine ainsi que la perturbation des canaux calciques non seulement par les ondes mais aussi par les toxines des moisissures. Vos capillaires peuvent être endommagés à cause d’un manque d'oxygénation musculaire et d’une incapacité à éliminer le dioxyde de carbone et les acides, entrainant notamment la production d'acide lactique causée par un problème de métabolisme. »

Comme ils ne sont pas formés pour traiter les maladies environnementales et que les traitements pharmaceutiques peinent à guérir les maladies chroniques complexes déclenchées par la pollution, la plupart des médecins réfèrent les personnes hypersensibles à divers facteurs environnementaux en psychiatrie. C'est ce que faisait habituellement Dre Nagy jusqu’au jour où elle a eu un patient qui disait entendre des conversations radio dans sa bouche. Après une enquête du FBi et de la CIA, dit-elle, son histoire s'est avérée vraie. Ses amalgames au mercure et autres implants dentaires métalliques agissaient comme des antennes qui captaient les courants électriques ! Ce phénomène impliquant l'ionisation et la corrosion des métaux, appelé électrogalvanisme buccal, est « souvent décrit comme des sensations de champ électrique ou de goût métallique en bouche. C’est un phénomène électrochimique régulièrement observé chez nos patients », affirmait en 2018 le dentiste français Alexis Payen dans sa thèse de doctorat. Ce phénomène entraine la libération progressive de mercure et autres métaux plus électropositifs dont les vapeurs nuisent particulièrement aux enfants et personnes hypersensibles. Comme l'explique le Dr Payen, « les personnes pourvues d’amalgames et pour lesquels un test MELISA s’est révélé positif pour le mercure ont vu une nette amélioration de leur état de santé une fois les amalgames remplacés par des substances à base de céramique ».

Selon Dre Nagy, il est essentiel de remplacer ces amalgames pour traiter les personnes hypersensibles à l'environnement. « Mon état de santé s’est amélioré de 90 % après que mon galvanisme buccal ait été traité. Les courants qui traversent la bouche sont près de la base du cerveau et ils peuvent entrainer une hypokaliémie et une activation des mastocytes. » L’hypokaliémie est une carence en potassium dans le plasma sanguin, souvent causée par de fortes diarrhées, qui entraîne des troubles du rythme cardiaque, des crampes musculaires et des nausées. Les mastocytes sont les cellules des tissus conjonctifs qui contiennent des médiateurs chimiques comme la sérotonine et l'histamine, et dont les concentrations chutent ou augmentent chez bon nombre de personnes intolérantes aux ondes électromagnétiques. Selon Dre Nagy, l’exposition combinée à des moisissures et aux ondes émises par le Wi-Fi — et souvent en conjonction avec le galvanisme oral — peut entrainer la dysautonomie (ou syndrome de tachycardie orthostatique posturale). « Cette anomalie du système nerveux autonome entraine notamment des problèmes digestifs, une hypotension et une instabilité cardiovasculaire, une insuffisance surrénale et une dépendance à diverses drogues licites et illicites – du sucre à l’héroïne en passant par la caféine et les anxiolytiques qui soulagent ces symptômes. »

Avant d’entreprendre le traitement d’une personne se trouvant dans une phase d'hypersensibilité aiguë, un médecin de l'environnement cherchent d'abord à calmer son organisme en l’éloignant de tous les déclencheurs environnementaux qui l'incommodent. C'est pourquoi il elle préférable qu'elle séjourne dans une clinique où les pollutions biologiques, chimiques et électromagnétiques sont minimisées. « Quand une plaie est infectée, il faut la nettoyer », m'expliqua un jour Dr Rea pour exprimer l'importance d'appliquer aux maladies chroniques ce principe évident pour tout chirurgien. C'est pourtant logique, notre corps est bioélectrochimique et donc sensible aux polluants auxquels il est exposé quotidiennement et qui nous affectent tous à divers degrés. Selon un nombre croissant de chercheurs médicaux, comme le corps a peu de répit dans notre monde moderne où l'air, la nourriture, le sol et les aliments sont plus ou moins contaminés par les polluants, ceux-ci seraient la principale cause de l'augmentation fulgurante des maladies chroniques.

De l'air pur, de l'eau pure et des aliments purs font non seulement partie du traitement mais aussi du processus diagnostique des maladies environnementales. Au début de leur séjour dans sa clinique hyper-propre, Dre Nagy demande aux patients de cesser durant quatre jours l'ingestion d'aliments soupçonnés d’être allergènes (lait, gluten, maïs, soja, etc.) afin de débusquer leurs hypersensibilités ou intolérances alimentaires. Celles-ci, dit-elle, sont camouflées par le syndrome général d'adaptation décrit par Hans Selye, le pionnier du stress et ancien professeur de médecine à l'Université de Montréal. Ce syndrome explique les réactions à court et à long terme du corps face au stress. « Si vous fumez à tous les jours, vous ne remarquez pas les effets de la fumée, souligne Lisa Nagy. Mais si vous arrêtez durant cinq jours, vous allez détester la fumée de cigarette. C'est un principe de la médecine environnementale adopté par Selye. Une personne qui était jadis adaptée à un aliment allergène, et qui a cessé de le consommer pendant quatre jours, peut s'endormir ou faire une crise d'asthme une demi-heure ou le lendemain après la réintroduction de cet aliment dans sa diète. » Ce simple principe a été promu par le Dr Theron Randolph, le père de la médecine environnementale, qui a traité le Dr Rea et son fils tous deux empoisonnés par les pesticides. « J'ai appris de ces maîtres l'importance du régime de rotation de quatre jours, affirme Lisa Nagy. Il est important de ne pas consommer les mêmes aliments chaque jour parce que ceux qui sont mal tolérés par votre corps créeront un stress qui l’inciteront à produire des substances adaptatives [comme l’histamine] qui augmenteront la charge toxique du corps. »

Bref, le traitement débute par l’élimination de tout facteur environnemental nocif. « Par exemple, les gens doivent se débarrasser des vêtements et des objets qui sont moisis. L’élimination des déclencheurs de symptômes est le cœur du traitement, c'est très abordable et peu glamour, alors que bien des praticiens nous vantent leurs protocoles glamour pour traiter l'intoxication aux moisissures », relate l'urgentologue. 

Selon le Dre Nagy, comme chaque personne est unique, il n'y a aucun traitement de référence et il faut avant tout régler les urgences — par exemple, certaines personnes ont trop d'histamine et de potassium, d'autres pas assez. « Les saunas aident [les hypersensibles], mais au début ça vous tire vers le bas. Il faut d’abord identifier les polluants nocifs auxquels on a été exposés pour ensuite rebâtir les résistances du corps, aider les patients sans leur faire de tort, dit-elle. La majorité des patients hypersensibles ont été exposés à la moisissure [qui peut endommager notamment les systèmes nerveux et immunitaire]. Certains ont été empoisonnés par des pesticides ou par des solvants ou des métaux lourds, mais en général ils ont vécu dans un immeuble où il y avaient des moisissures avant de tomber malades. »

« Souvent les patients ont des idées préconçues à propos de ce qui les rend malades mais seules des analyses de sang et d'urine et des tests cutanés peuvent guider le traitement », ajoute-t-elle. Grâce au Dr Rea, elle a notamment découvert qu'elle avait une déficience congénitale de la coenzyme Q10 dont la prise sous forme de supplément a réglé ses problèmes musculaires. Elle souffrait aussi d'une insuffisance des surrénales appelée maladie d'Addison. « J'avais un sens de l'odorat augmenté, comme un chien, et un déficit de l'attention qui ont immédiatement été réglés par la prise d'hydrocortisone. Avant, j'avais de la difficulté à conduire si j’écoutais la radio et que quelqu’un me parlait. Les garçons agressifs qui souffrent d’un trouble du déficit de l'attention ont souvent un taux de cortisol assez bas, voire la dysautonomie qui cause des problèmes de rythme cardiaque. Parfois la prise d'hormones pour traiter cette condition permet au patient d'entreprendre des traitements plus difficiles. »

Dre Nagy est très fière d'avoir été invitée au National Institutes of Environmental Health Sciences (NIEHS), en 2016, pour raconter son histoire et parler des dangers du Wi-Fi et des moisissures dans les écoles. Le séminaire « Obésité, électrosensibilité, mycotoxicose et pratique clinique de la médecine » fut présenté par le bureau de Linda Birnbaum, l'ancienne directrice du NIEHS, qui lui a remis une éloquente lettre d'appréciation. Ce séminaire portait « sur le rôle des produits chimiques, des moisissures, des aliments, des champs électromagnétique et d'autres facteurs environnementaux dans le déclenchement des maladies et sur la façon dont le retrait de ces déclencheurs de l'environnement d'une personne peut améliorer la santé. Ce modèle de diagnostic, de traitement et de prévention des maladies chroniques est axé sur le patient et les causes », selon l’article La médecine environnementale est prometteuse pour réduire les maladies chroniques, publié dans le bulletin Environmental Factor du NIEHS.

« Si on donnait aux médecins des outils pour enquêter sur ces causes environnementales, on pourrait aider les gens, m'expliquait Dre Nagy en entrevue. Sortez les produits chimiques de la maison, enlevez le compteur intelligent et utilisez un écouteur Air tube pour ne plus jamais mettre un téléphone portable contre votre tête. Sortez le téléphone sans fil de la maison. Les gens ne se préoccupent pas de ces dangers avant d’être au seuil de la mort. Ils doivent s'en préoccuper plus tôt. »

Dre Nagy a raconté sa participation à la docusérie Afflicted, diffusée sur Netfix, qui présente sept personnes hypersensibles à l'environnement. « Pour la première fois, ces gens ont pu décrire leurs symptômes afin que les téléspectateurs puissent s'auto-identifier et sensibiliser leur entourage à ce problème. J'ai travaillé 15 ans pour participer à une telle série. Malgré quelques erreurs — on y mentionne que mes honoraires sont de 30 000 $ mais c'est plutôt moi qui ai versé 35 000 $ au Dr Rea pour la consultation — cette docusérie pourrait contribuer à changer le système de santé afin de prévenir les maladies environnementales et aider les gens à éliminer leur handicap. J'étais tellement malade que je ne pouvais pas parler. Parler, pour moi, c'était comme courir un marathon. Maintenant, il est presque impossible de me faire taire, je suis tellement motivée pour résoudre ce problème! »

Voici les autres anecdotes et conseils qu'elle a partagés à Santa Cruz :

  • « Il y a deux jours, j'ai vu un enfant souffrant d'avoir été exposé à l'huile essentielle de melaleuca (théier) qui peut être nocive pour les enfants. Dr Rea recommandait de ne pas les exposer aux parfums biologiques avant l'âge de dix ans. »
  • « Un des symptômes d'une maladie environnementale est le fait de sentir que son soutien-gorge est trop serré parce que les tissus sont mal oxygénés. Souvent, lors de rencontres gouvernementales, j'avais de la misère à respirer. »
  • « Le seul fait de toucher la souris de mon ordi, la télécommande de la télé ou même le robinet de l’évier [des microcourants circulent souvent sur la plomberie] me donnait des douleurs thoraciques et le fait de placer mes jambes près d'un ordinateur me donnait de la dysautonomie. J'ai finalement acheté un gant blindant les ondes sur lessemef.com (voir aussi les produits québécois sur em3e.com). Les émissions CEM du Mac Mini semblent être plus faibles. »
  • « Un jour, j'ai entendu parler d'un homme dont l'anus brûlait chaque fois qu'il touchait à son courrier. J'avais la même chose. Mes lèvres brûlaient et mes fesses piquaient à cause des produits chimiques dans le papier. Heureusement, en 2003, j'ai rencontré le Dr Rea et je lui ai dit que j’avais l’impression d’être en train de mourir. Après un traitement de six semaines dans sa clinique, notamment de vitamines par perfusion quotidienne, j'ai récupéré plus vite que la plupart de ses patients. Mon premier traitement était à base de trisels [calcium-magnésium-potassium] et de vitamine C deux fois par jour pour alcaliniser le corps. »

[Je connais une Québécoise dont l'ado hypersensible est redevenu tolérant au Wi-Fi après avoir effectué un traitement au bicarbonate de soude durant plusieurs jours. Et deux autres électrohypersensibles québécois qui vont beaucoup mieux parce que leur alimentation comprend 80 % de végétaux. « Je ne suis plus hypersensible du tout, vivement les enseignements d’Hippocrate, la détox et la régénération cellulaire », clame le naturopathe Jonathan Harvey-Maltais.]

  • « La caféine peut être très utile. Elle inhibe l'ouverture des canaux calciques dépendants du voltage. Ça me permet de passer d’un état quasi comateux à celui d’un personne prête à travailler. »
  •  « Mon trouble du système nerveux autonome (causé notamment par le téléphone sans fil) me faisait beaucoup uriner. »
  • Lire l'article Brain on Fire: The Role of Toxic Mold in Triggering Psychiatric Symptoms, de la psychiatre Mary Acklerley et son webinaire Brain on Fire.
  • « Si vous gelez à l'épicerie, vous êtes probablement déficient en surrénales. »
  • « Un ado typique sur Martha's Vineyard a un pouls de 140, avec de la tachycardie et un peu de brachycardie », à cause de l'exposition constante aux ondes du sans fil.
  • « Les expositions toxiques endommagent les nerfs, les veines ne se contractent pas et le sang s'accumule à certains endroits, ce qui incite les gens à se croiser les jambes et les bras parce qu'ils croient que cela fait circuler le sang [alors que l'effet est le contraire]. On le teste avec une table basculante pour voir si le pouls augmente pendant 30 minutes après 10 minutes d'inversion. »
  • « Les gens ne veulent pas admettre qu'ils ont des moisissures! C'est très bouleversant pour eux quand je leur dis qu'ils doivent se départir de leurs vêtements et objets moisis, mais c'est la seule façon de démasquer leur intolérance. On ne peut pas traiter les gens et les laisser dans leur maison avec leurs vêtements moisis. Je me suis guérie parce que j'ai tout abandonné. Ç'a m’a coûté cher mais je vais bien. Les femmes sont particulièrement intolérantes aux moisissures. La testostérone protège les hommes davantage car elle fabrique du cortisol. »
  • « Vous avez probablement une déficience des surrénales si vous aimez le sel et le sucre, si vous êtes étourdis en vous tenant debout, ou fatigués le matin ou à 16h. » 
  • « Il y a plusieurs traitements accessibles, comme le fait de marcher nu pieds sur le sol ou dans la mer [pour recevoir des électrons libres anti-inflammatoires — lire les études scientifiques sur le site du Earthing Institute dirigé par le docteur en génie physique Gaétan Chevalier formé à Polytechnique Montréal], et la thérapie d'oxygène administré avec un masque en céramique. »
  • « L'ocytocine est un médicament merveilleux. C'est un peptide naturel sécrété par l'hypothalamus qui stimule la confiance, l'empathie, la générosité et la sexualité. Ça vous fait fusionner avec votre mari et votre bébé. Ça diminue la douleur et c'est très bon pour les orgasmes! »
  • Voir les vidéos disponibles sur le site lisangy.com et ces documents complémentaires :
  • CV de la Dre Lisa Nagy
  • Son plan de traitement des hypersensibilités environnementales
  • Tests, traitements et recommandations du Dre Nagy
  • Consignes envoyées à ses patients avant divers tests

The Toxic Body Burden: Environmental Illness + Chemical Sensitivity

How is Your Environmental Health? A doctor and patient guide to identifying increasingly common