C’est avec enthousiasme et fébrilité que j’amorce cette nouvelle chronique dans la revue de mon ami André Fauteux. Ceux qui me connaissent savent que je n’ai pas l’habitude de suivre modes, recettes ou tendances… si je crois qu’il en serait mieux autrement. Parfois polémique, mais sans agenda caché, sans arrière-pensée. Si le bien public me semble mieux servi en dehors des sentiers confortables, j’irai. Les exemples ne manqueront pas. Rassurez-vous, je ne vous inciteraipas à conduire de grosses voitures ou à disposer négligemment des matières recyclables… C’est que nous prendrons le temps de nous poser certaines questions d’un angle différent.
Par exemple, plus j’entends les gens parler du protocole de Kyoto, plus je ressens un malaise grandissant. Cet accord international a un objectif indiscutablement louable : la survie de l’humanité via la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les changements climatiques qui en découlent. Pourtant, on semble souvent considérer Kyoto comme intouchable. Or, le gouvernement canadien s’est engagé à réduire nos émissions de GES, pendant cinq ans (2008-2012), à 6 % sous leur niveau de 1990. Néanmoins, elles sont présentement d’au moins 30 % supérieures à cette cible de -6 %.
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