James Lech est un docteur en biophysique qui a étudié la toxicologie à l'Université McGill et dirige le projet de l'OMS sur le rayonnement électromagnétique et optique, à la Fondation nationale de la recherche d'Afrique du Sud.
Il a conçu cette structure d'art fonctionnelle baptisée Volcan dans le cadre de son 10,000 Trees Project (le Projet de 10 000 arbres). Elle est érigée au-dessus d'un garage souterrain dont elle convertit en oxygène le CO2 émis par les moteurs des véhicules.
Les gaz de combustion sont traités par des algues cultivées dans un réservoir d'eau magnétisée pour amplifier leur capacité d'absorption du CO2 au-delà de celle de la roche volcanique. En 41 jours, cette structure de quelques mètres carrés, qui consomme un minimum d'énergie, produit le même effet de séquestration du carbone que 10 000 arbres qui prennent environ deux ans à planter en région éloignée car ils accaparent beaucoup plus d'espace.
Et ce n'est pas tout : on peut profiter de son effet bénéfique de mise à la terre corporelle (électrobiomodulation) en touchant au Volcan ou même en l'escaladant pour y observer les algues bouillonnantes à travers son sommet.
En plus, il émet une lumière rouge qui stimule la croissance des algues et améliore le sommeil et la récupération des habitants du complexe domiciliaire, neutralisant ainsi l'effet toxique de la lumière blanche nocturne des lampadaires urbains. Comme les habitants s'endorment plus vite, ils consomment moins d'électricité dont la production à partir d'énergie fossiles génère des gaz à effet de serre.
Bref, c'est un modèle très efficace permettant de combattre les changements climatiques tout en reconnectant les gens à l'art et à la nature.
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