Le coût du chauffage des bâtiments résulte du coût de l’énergie et l’efficacité des équipements. Avec des équipements dont l’efficacité varie entre 80 % et 95 % environ et un prix de la molécule traditionnellement bas, le gaz naturel occupait depuis toujours une position concurrentielle favorable vis-à-vis le chauffage électrique par plinthes d’une efficacité d’environ 100 %. Cette situation ne s'appliquerait plus aujourd'hui.
Le Regroupement des organismes environnementaux en énergie (ROEE) a récemment été amené à évaluer approximativement la position concurrentielle du gaz naturel au Québec dans le cadre de l’étude de la présente cause tarifaire et d’approvisionnement d’Énergir devant la Régie de l’énergie (R-4177-2021, Phase 2).