Les revêtements extérieurs en bois, délaissés pour le vinyle et l’aluminium pendant plusieurs décennies, reviennent graduellement envelopper nos maisons. Dans un monde où le développement durable occupe de plus en plus de place dans chacune de nos décisions, ce matériau noble devient une option de premier choix. Des spécialistes expliquent ses forces et ses limites. 

Le secret d’un revêtement de bois durable réside dans les détails architecturaux qui le protègent du soleil et de l’humidité, comme les débords de toit et les galeries couvertes, selon le directeur d’Écohabitation, Emmanuel Cosgrove.  © Isabelle Vinet/maisons-anciennes.qc.ca 

La conversion du bois en revêtement met en lumière la diversité naturelle de ses motifs et de sa texture. Dans cette perspective, les techniques de moulurage jouent un rôle essentiel en accentuant la singularité et l'unicité de chaque planche. Chacune se distingue par ses nœuds, sa texture et les multiples nuances de sa coloration naturelle. À cela s'ajoute le choix réfléchi de l'essence de bois qui composera le revêtement ainsi que la couleur finale appliquée. C'est cette combinaison qui confère une authenticité visuelle remarquable à un bâtiment revêtu de bois massif.  

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