Construite à Sainte-Adèle, en 1998, notre maison vieillit très bien. Mais comme elle aura bientôt un quart de siècle, elle peut toujours être améliorée. C’est pourquoi je viens de la soumettre à un quatrième test d’infiltrométrie (incluant celui fait sur le chantier), par le biais du programme Rénoclimat qui est désormais bonifié par l’Initiative canadienne pour des maisons plus vertes. Ensemble, ces deux programmes donnent droit à une subvention combinée pouvant aller jusqu’à 5 000 $. Celle-ci exclut la valeur des deux évaluations ÉnerGuide/Rénoclimat obligatoires permettant de diagnostiquer la maison avant et après les travaux d’amélioration.
De plus, l’hiver dernier j’ai commandé une deuxième inspection thermographique en 19 ans afin de visualiser les principales pertes de chaleur à travers l’enveloppe du bâtiment. À défaut d’ouvrir les murs, c’est la seule façon de savoir s’ils sont bien isolés.
La thermographie et l’infiltrométrie m’ont convaincu d’améliorer l’étanchéité des portes et des fenêtres, de bonifier l’isolation du sous-sol et d’ajouter une thermopompe murale pour desservir le rez-de-chaussée et le sous-sol, où travaille ma femme Maryse, jeune retraitée qui s’occupe de notre service à la clientèle depuis l’hiver dernier.