Dr Rosalind Anderson
Dr Rosalind Anderson

Le nuage chimique émis par les soi-disant « rafraîchisseurs d’air » branchés au mur se combine à l’ozone au sol pour former du formaldéhyde, un gaz classé probablement cancérigène, et autres composés organiques volatils (COV) causant des problèmes respiratoires, selon une étude préliminaire de l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis (EPA).

Précurseur du smog urbain parfois mortel, l’ozone au sol est un puissant irritant respiratoire formé quand les gaz d’échappement des véhicules réagissent avec la lumière solaire. L’ozone est aussi émis par les photocopieurs, les imprimantes laser et même des générateurs d’ozone vendus comme épurateurs d’air car ils neutralisent les odeurs. Scénario extrême : les chercheurs ont installé ce genre d’appareil, pour simuler l’air urbain lors d’un pic d’ozone, ainsi que quatre rafraîchisseurs d’air branchés aux murs d’une grande chambre environnementale de 613 pieds carrés (environ 20’ x 31’).

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LA TOXICITÉ DES « SENT-BON » INQUIÈTE WASHINGTON
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