Mise à jour du 21 août 2024. Texte publié pour la première fois en 2017.

En 2006, un enfant de deux ans présentant un retard de langage, des cris aigus et un comportement anxieux s'est rendu dans le cabinet d'une pédiatre californienne, la Dre Toril Jelter, avec ses parents. L'enfant se cachait sous la table d'examen et refusait tout contact visuel. Il a finalement été diagnostiqué autiste. Un test indirect a suggéré que le mercure était en cause, peut-être parce que sa mère avait mangé beaucoup de poisson chargé en mercure pendant sa grossesse. (Elle avait espéré que l'huile de poisson rendrait son bébé plus intelligent.)
Pour remédier au comportement de l'enfant, un biochimiste a proposé de chélater (éliminer) le mercure. Les parents ont demandé à la Dre Jelter de surveiller leur fils pendant ce traitement. Elle a refusé : elle n'avait jamais entendu parler d'un tel traitement. Les normes de soins actuelles recommandent une thérapie par la parole et un renforcement du bon comportement.
La famille a quitté le cabinet de la Dre Jelter et a trouvé un autre pédiatre.
Trois ans plus tard, la famille consulte à nouveau Dre Jelter. À son grand étonnement, le garçon - alors âgé de cinq ans - établissait un bon contact visuel avec elle et parlait normalement. Il avait des amis et obtenait des résultats supérieurs à la moyenne dans sa classe sans aide.
« Si un enfant peut guérir de l'autisme, a pensé la médecin, il peut en être de même pour beaucoup d'autres. »

Autisme, toxicité des métaux et exposition aux champs électromagnétiques
En commençant par appeler Andrew Hall Cutler, le biochimiste de l'enfant, la Dr eJelter a commencé à faire des recherches sur la médecine environnementale et la médecine intégrative. Elle a appris que l'exposition aux champs électromagnétiques (CEM) des technologies sans fil peut altérer la capacité d'une personne à éliminer les métaux toxiques. Dans les environnements où il y a moins de CEM, les enfants autistes excrètent de plus grandes quantités de mercure.
La Dre Jelter a également examiné des centaines d'études scientifiques et a trouvé plus de 50 points communs entre les signes et symptômes de la toxicité des métaux lourds et les signes et symptômes de l'exposition aux CEM, notamment des altérations génétiques, des lésions de la rétine et de l'optique, une augmentation des réactions inflammatoires, des changements immunitaires, une génotoxicité, une augmentation du stress oxydatif, une altération du développement du fœtus et une augmentation des risques auto-immuns. Le chevauchement d'un dysfonctionnement biologique intrigue les scientifiques. Il est clair que des recherches plus approfondies sont nécessaires. [La neuropédiatre Martha Herbert, qui enseigne à l'Université Harvard, a trouvé pas moins de 550 études recoupant les manifestations d'autisme et les effets des CEM. Voir aussi les références ci-dessous.]

Les chiffres augmentent
Au milieu des années 1960, un enfant américain sur 10 000 était diagnostiqué autiste. En 2012, les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont indiqué qu'un enfant sur 88 était atteint de la maladie. Deux ans plus tard, en 2014, les CDC ont constaté une augmentation de près de 30 %, avec un enfant américain sur 68 atteint d'autisme.
Les données recueillies en 2020 montrent qu'un enfant américain de huit ans sur 36 est atteint d'autisme. En Californie, un enfant sur 26 (3,9 %) est atteint d'autisme. Les garçons sont quatre fois plus susceptibles que les filles d'être diagnostiqués avec cette maladie.1

Un protocole de réduction de l'électrosmog d'une durée de deux semaines
La Dre Jelter a mis au point un protocole de réduction de l'exposition aux CEM comme thérapie de première intention pour les enfants atteints d'autisme ou de troubles déficitaires de l'attention (TDA) et a commencé à le proposer aux familles dans son cabinet.
Avant de commencer l'essai, évaluez la qualité du sommeil, le comportement, l'humeur et l'élocution de votre enfant. Vous trouverez une liste de contrôle sur le site Web de l'Institut de recherche sur l'autisme (https://www.autism.org/autism-treatment-evaluation-checklist/).
Pour une évaluation plus simple, identifiez trois des plus gros problèmes de votre enfant et notez-les de zéro à dix. (Zéro signifie qu'il n'y a pas de problème, dix signifie que c'est le pire que l'on puisse imaginer).
Rangez votre évaluation dans un tiroir, puis essayez le protocole de Dre Jelter :
1. Éteignez le routeur Wi-Fi la nuit pendant au moins 12 heures. Pour accéder à Internet, utilisez un câble Ethernet CAT 5 ou 6.
2. Éliminez tous les téléphones sans fil (DECT). Gardez tous les appareils mobiles à une distance d'au moins six pieds des enfants. Éteignez tous les téléphones portables dans la voiture (si les deux parents sont d'accord, n'exposez pas les enfants aux technologies sans fil pendant deux semaines).
3. Coupez l'électricité de la chambre de votre enfant la nuit au niveau du disjoncteur si vous pouvez le faire en toute sécurité. Près du lit de votre enfant, gardez une lampe de poche qu'il sait utiliser. Si votre maison est équipée d'un compteur d'électricité numérique « intelligent » [communiquant], évitez de vous en approcher pendant de longues périodes. Idéalement, commandez un compteur non communiquant.

Après les deux semaines d'essai, évaluez à nouveau les symptômes de votre enfant. Comparez ensuite ses deux évaluations. Si le comportement de votre enfant ne s'est pas amélioré, revenez à votre utilisation initiale de l'électronique pendant une à deux semaines et évaluez à nouveau la gravité des trois principaux problèmes de votre enfant sur une échelle de zéro à dix. Si vous n'observez aucun changement au cours de ce deuxième essai, il se peut que les CEM ne contribuent pas à la maladie de votre enfant. Il se peut aussi que les niveaux de CEM de votre maison soient si élevés que le comportement de votre enfant ne se calme que si vous déménagez dans une zone où les CEM sont moindres. Envisagez de faire appel à un consultant certifié en CEM ou à un biologiste du bâtiment pour évaluer l'exposition aux CEM à votre domicile, à l'école et dans votre voiture.
Bien entendu, l'alimentation joue également un rôle clé dans la santé des enfants. Un supplément du Journal of Pediatrics paru en janvier 2010 indiquait que 40 à 80 % des enfants autistes ont des problèmes gastro-intestinaux difficiles à diagnostiquer. Une mauvaise alimentation (avec de grandes quantités d'aliments transformés et/ou de sucre, par exemple) peut accroître la vulnérabilité d'un enfant aux expositions environnementales alors qu'une alimentation optimale peut accroître sa résistance.

Études de cas
Une famille qui a essayé le protocole de la Dre Jelter avait un garçon autiste de quatre ans qui dormait mal depuis deux ans. La nuit, il grimpait dans le lit de ses parents pour parler, jouer et manger. Ses parents n'avaient donc pas bien dormi pendant deux ans non plus. Dès la première semaine de leur essai de réduction des CEM, le garçon a dormi toute la nuit dans son propre lit. Les CEM peuvent réduire la mélatonine, l'hormone du sommeil, et donc perturber le sommeil.
Au bout de deux semaines, la Dre Jelter a prescrit une multivitamine et de l'huile de poisson de qualité pharmaceutique obtenue par distillation moléculaire. L'appétit du garçon s'est alors amélioré et ses selles sont devenues régulières. Étant donné qu'il faut généralement plus de deux semaines pour que les suppléments apportent des changements significatifs, la médecin a estimé que ces améliorations résultaient très probablement de la réduction de l'exposition aux CEM. Il est également possible que la combinaison de la réduction de l'exposition au rayonnement électromagnétiques et des compléments alimentaires ait amélioré son état de santé.
Plus tard, le garçon a recommencé à mal dormir et il est remonté dans le lit de ses parents. Sa mère a pensé qu'il avait mangé trop de sucre pour Halloween. Elle a ensuite appris que son aîné avait réactivé leur routeur Wi-Fi. Une fois le routeur éteint, le sommeil de l'enfant de quatre ans s'est à nouveau amélioré et son comportement s'est calmé. En l'espace de deux mois de supplémentation et de réduction de l'exposition aux CEM, les capacités cognitives de l'enfant se sont grandement améliorées.

Une autre famille avait un garçon agressif et non verbal de dix ans, atteint d'autisme. Chaque nuit, il courait dans la maison en criant de 22 heures à 3 heures du matin. Sa mère souffrait d'un trouble épileptique. Comme cette famille vivait sur une base militaire où les niveaux de rayonnement électromagnétique étaient élevés, la Dre Jelter doutait que le protocole puisse l'aider. Mais les parents ont décidé de débrancher leurs téléphones sans fil et de supprimer leur routeur Wi-Fi la nuit.
En l'espace de trois jours, les comportements agressifs du garçon ont diminué et, pour la première fois, il a prononcé une phrase complète!
Motivée, la famille a éliminé toutes les technologies sans fil 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Dre Jelter a également prescrit à ce garçon de l'huile de poisson de qualité pharmaceutique. Au bout de trois semaines, ses cris nocturnes ont cessé. Son élocution, sa digestion et son sommeil ont continué à s'améliorer. Son anxiété - et les crises d'épilepsie de sa mère - ont diminué.

Andrew Goldsworthy, docteur en biologie, professeur émérite de l'Imperial College, Royaume-Uni, explique ainsi les effets de l'exposition aux CEM sur le développement du cerveau des enfants.

« Certaines formes génétiques des troubles du spectre autistique (TSA) peuvent être expliquées par des mutations connues dans le codage génétique des canaux ioniques qui entraînent une concentration accrue de calcium dans les neurones. Cela peut entraîner une hyperactivité neuronale et la formation de synapses parfois inappropriées, qui peuvent à leur tour entraîner des comportements autistiques.2
Juste après la naissance, le cerveau de l'enfant traverse une période intense de prise de conscience de nouvelles données sensorielles, comme la reconnaissance du visage de sa mère, de ses expressions, et éventuellement d'autres personnes et de leurs relations.3 Au cours de ce processus, les neurones du cerveau établissent d'innombrables nouvelles connexions, et le cerveau stocke ce que l'enfant apprend. Les connexions rarement utilisées sont élaguées. Les schémas qui restent peuvent se fixer dans le cerveau de l'enfant. Ce processus d'élagage est achevé avant la maturation sexuelle.4
Si l'enfant est exposé à des champs de radiofréquences (RF) au cours de ce processus d'élagage, la production de signaux trop nombreux et souvent parasites générera des connexions aléatoires fréquentes. Celles-ci ne seront pas élaguées, même si elles n'ont pas de sens. Ces enfants risquent de ne pas avoir l'esprit nécessaire à des modèles normaux d'interaction sociale, ce qui peut alors contribuer à divers comportements autistiques.
Les signaux des téléphones portables et du Wi-Fi peuvent également provoquer des fuites dans les membranes cellulaires et un afflux excessif d'ions calcium dans les cellules.5 L'hyperexcitation des cellules et des enfants peut avoir pour conséquence que le cerveau des enfants perde sa capacité de concentration en classe.
En outre, tout comme l'éclairage électrique nocturne, les CEM (provenant notamment du Wi-Fi, des téléphones portables et des antennes) diminuent la production de mélatonine.6 La mélatonine est une hormone du sommeil et un puissant antioxydant luttant contre le cancer. Elle peut inverser le stress oxydatif résultant de l'exposition aux rayonnements7.
Alors que les scientifiques continuent d'étudier comment l'exposition aux CEM réduit la production de mélatonine et si le stress oxydatif induit par les CEM contribue à l'autisme, nous devrions d'abord ne pas faire de mal à nos enfants. Considérez le Wi-Fi comme un obstacle à l'apprentissage plutôt que comme une aide. En outre, le Wi-Fi peut être particulièrement dangereux pour les enseignantes enceintes, car l'exposition d'un fœtus ou d'un très jeune enfant aux CEM peut empêcher le développement normal du cerveau.8
En raison de la variabilité génétique et environnementale, tout le monde ne souffrira pas des mêmes symptômes. Certains ne souffriront pas du tout. Pour le bien de ceux qui souffrent, le Wi-Fi n'est pas une bonne idée dans les écoles, ni ailleurs d'ailleurs. Pour une meilleure santé, il est préférable de ne pas utiliser le Wi-Fi pendant le sommeil et d'opter pour un accès câblé à l'internet. »

Nous pouvons tous être des chercheurs
Un père d'enfants autistes a déclaré un jour : « Si un pour cent des cellulaires ne fonctionnaient pas correctement, la chaîne de production serait étudiée systématiquement et le problème serait réglé en un mois. Nous devons réagir à l'autisme de la même manière : trouver la source de son augmentation dramatique et l'éliminer, et donner à nos enfants de meilleures chances. »
La Dre Jelter ajoute : « Lorsque les chercheurs étudient les facteurs environnementaux susceptibles de contribuer à l'autisme, ils auraient tort de ne pas inclure l'exposition aux CEM. Alors que les fournisseurs de télécommunications ajoutent la 5G et que les services publics installent des compteurs intelligents, le comportement agité de nos enfants indique que nous devons utiliser la technologie de manière plus sûre. En attendant, il n'y a pas de mal à faire un essai de réduction de l'exposition aux CEM pendant deux semaines. »

Ressources et travaux qui complètent le protocole du Dr Jelter
« Autism and EMF? Plausibility of a pathophysiological link Parties 1 et 2 » par la Dre Martha Herbert (neurologue pédiatrique à la Harvard Medical School) et Cindy Sage (co-éditrice de BioInitiative Reports), publiés dans Pathophysiology en 2013.

Alors que l'utilisation des appareils mobiles par les jeunes enfants est passée de cinq minutes par jour en 2020 à 55 minutes en 2022, et qu'à l'âge de quatre ans, la plupart des enfants ont leurs propres appareils, la revue médicale JAMA Pediatrics fait état d'un lien entre l'utilisation des tablettes par les tout-petits et les crises émotionnelles. Une augmentation d'une heure de l'utilisation quotidienne de la tablette à l'âge de 3,5 ans est liée à une augmentation de 22 % de la colère et de la frustration l'année suivante. Une autre étude de JAMA Pediatrics a établi un lien entre le temps passé devant l'écran de télévision et le développement de comportements de recherche sensorielle, tels que l'observation obsessionnelle d'un objet qui tourne, la lenteur de réaction à des stimuli tels que l'appel de son nom et l'évitement de certaines expériences sensorielles, telles que les nouveaux aliments et les environnements bruyants.

www.BabySafeProject.org propose une brève vidéo avec le Dr Hugh Taylor, chef du département d'obstétrique, gynécologie et sciences reproductives à la faculté de médecine de Yale, sur les effets de l'exposition in utero au rayonnement cellulaire sur le comportement des enfants.

Buie, T., « Evaluation, diagnosis and treatment of GI disorders in individuals with ASDs : Un rapport de consensus », Pediatrics, 2009-1878c. Doi:10.1542/peds.

Cayne, Sarah M. et al, « The growth of problematic media use over early childhood : Associations with long-term social and emotional outcomes, » Computers in Human Behavior, Vol. 159, October 2024. Étude de l'utilisation des médias chez les enfants âgés de 2,5 à 5,5 ans. Les niveaux initiaux d'utilisation problématique des médias sont liés à des problèmes sociaux et émotionnels quatre ans plus tard.

Dunckley, Victoria, MD, Reset Your Child's Brain: A Four-Week Plan to End Meltdowns, Raise Grades and Boost Social Skills by Reversing the Effects of Electronic Screen-Time, New World Library, 2015. Aujourd'hui, « près d'un adolescent sur cinq présente des symptômes de dépendance au cellulaire ».

L'Environmental Health Trust a publié Simple Steps Can Help Reduce Every Day Wireless Exposures (Des mesures simples peuvent aider à réduire les expositions sans fil quotidiennes).

Graber, Diana, Raising Humans in a Digital World : Helping Kids Build a Healthy Relationship with Technology, HarperCollins, 2019. Vos enfants peuvent-ils se débrancher ? gérer leur réputation en ligne ? se protéger contre la cyberintimidation, les prédateurs, les sextos, le porno vengeur ? Savent-ils ce qu'il faut faire s'ils sont confrontés à des relations malsaines en ligne ? Comment protéger leurs informations personnelles ? Comment faire preuve d'esprit critique face aux informations qu'ils trouvent en ligne ? Si vous répondez « non » à l'une de ces questions, c'est que vos enfants ne sont pas prêts à assumer l'énorme responsabilité que représente la possession d'un appareil connecté. Les enjeux sont trop importants. Cependant, avec du temps et de la patience, vous pouvez enseigner ces compétences à vos enfants. Demandez-leur de noter leurs activités en ligne et le nombre d'heures qu'ils y passent chaque jour. Demandez-leur quels sont les avantages de chaque activité liée au temps passé devant un écran. Si vous n'aviez pas d'appareil, que feriez-vous ? Prendriez-vous un jour par semaine pour faire ces choses ? Créeriez-vous des zones sans technologie dans votre foyer et à l'école ?

Children, Radiation and Health, excellent exposé de la pédiatre britannique Erica Mallery-Blythe, MD.

Jouets et activités sans écran, de Katherine Johnson Martinko.

Joel Moskowitz, chercheur en santé publique et directeur du Center for Family and Community Health à l'université de Californie, à Berkeley, publie des études et des développements politiques concernant l'exposition aux CEM sur https://www.saferemr.com.

Nagata, Jason M., et al, « Bedtime Screen Use Behaviors and Sleep Outcomes in Early Adolescents, » J. of Adolesc.Health, 2024. Le fait de laisser les notifications allumées, même en mode silencieux, entraîne une diminution du sommeil par rapport au fait d'éteindre le téléphone ou de le laisser à l'extérieur de la chambre à coucher.

Delaney Ruston, MD, a développé les documentaires ScreenAgers et propose des outils pour garder les téléphones « loin pour la journée » à l'école. De nombreuses écoles et districts scolaires ont interdit les téléphones portables. Après que la John Wallis Church of England Academy a exigé que les élèves gardent leur téléphone dans une pochette scellée, les retenues ont chuté de 40 % et l'absentéisme a diminué de 25 %.

Simonson, Stewart D., « Evidence for increased autism due to electromagnetic pollution from high power microwave antennas ».

Singer, Katie, An Electronic Silent Spring, Steiner Books, 2014, traite des lois relatives à l'exposition aux CEM et à leurs effets biologiques sur la santé publique et la faune. Pour des rapports sur la consommation d'énergie des technologies électroniques, les extractions, l'utilisation de l'eau, les déchets toxiques et les risques pour les travailleurs, consultez le site suivant :

Katie Singer's Substack

Dans notre société de plus en plus technocratique, avec un revenu limité, comment/peut-on vivre selon ses moyens écologiques et avoir la paix entre les oreilles ?

 

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Cris Rowan, une ergothérapeute canadienne, propose des ressources pour permettre aux enfants d'équilibrer le temps consacré à la technologie avec le mouvement et le temps passé dans la nature. https://reconnectwebinars.com/

Version espagnole de cet article “Calming Behavior in Children with Autism”.

Références

1.     https://www.cdc.gov/media/releases/2021/p1202-autism.html 

https://www.cdc.gov/ncbddd/autism/data.html 

2.     Hawley, T. and M. Gunner, “How early experiences affect brain development,” (2000), https://www.theounce.org/wp-content/uploads/2017/03/StartingSmart.pdf

3.     Huttenlocher, P.R. and A. S. Dabholkar, “Regional differences in synaprogenesis in human cerebral cortex,” J. of Comparative Neurology, vol. 387, no. 2 (1997): 167-178.

4.     Egglias, J. et al, “Dynamics of Pruning in Simulated Large-Scale Spiking Neural Networks, BioSystems, Vol. 79 (9); 2005.

5.     Pall, Martin, “Electromagnetic fields act via activation of voltage-gated calcium channels to produce beneficial or adverse effects,” Journal of Cellular and Molecular Medicine, 6-26-2013.

6.     Recep Akkaya, et al., “Wi-Fi decreases melatonin protective effect and increases hippocampal neuronal damage in penylenetetrazole induced model seizures in rats,” Pathophysiology, Vol. 26, Issues 3-4, September-December 2019.

7.     Lerchi, A. et. al (1991), “Pineal gland ‘magneto-sensitivity’ to static magnetic fields is a consequence of induced electric currents (eddy currents),” J. of Pineal Research, 10: 1009-116. doi: 10.1111/j.1600-079X.1991.tboo8261.x.

8.     Krey, J. F., “Molecular mechanisms of autism: A possible role for Ca2+ signaling,” Current Opinion in Neurobiology, vol. 17, no. 1 (2007); 112-119.