Des chercheurs suisses ont laissé des cultures de moisissures exposées aux champs électromagnétiques (CEM) ambiants. Elles ont produit 600 fois plus de toxines – et les formes les plus virulentes – que lorsque les cultures étaient blindées des CEM.
Explications du médecin Dieter Klinghardt : http://www.buergerwelle.de:8080/helma/twoday/bwnews/stories/4895/
Le Dr Klinghardt et d’autres chercheurs soupçonnent que cela pourrait favoriser la survenue de problèmes neurodéveloppementaux chez les enfants. Ils craignent que les CEM ne stimulent des infections asymptomatiques chez les femmes enceintes, les radiations favorisant l’apparition de biotoxines altérant la structure génétique du fœtus. http://www.buergerwelle.de:8080/helma/twoday/bwnews/stories/432/
Article publié en septembre 2000 dans Medical Hypotheses
Mycotoxins, fungus and ‘electrohypersensitivity’.
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/10985910
On sait déjà que les CEM stimulent le candida, champignon microscopique peuplant notre intestin http://omega.twoday.net/stories/3831066/
EMR Induces Mold and Yeast Growth: The Evidence http://omeganews.wordpress.com/2008/06/18/emr-induces-mold-and-yeast-growth-the-evidence/
Rosemarie, une lectrice du site www.electricsense.com, qui a repris ces informations, témoigne: « J’ai vécu des problèmes majeurs à cause d’une infestation de moisissures et mes chiens aussi. Après avoir éliminé des niveaux très élevés d’interférence électromagnétique [hautes fréquences transitoires] en utilisant des filtres, tout le monde va beaucoup mieux : nous avons très peu d’indices d’allergies aux champignons ou aux moisissures. Je n’avais pas fait le lien avant de lire votre article. »
Mais pour le biochimiste J. David Miller, professeur à l’Université Carleton et considéré par plusieurs comme le plus grand expert en moisissures au Canada, l’étude présentée dans la vidéo du Dr Klinghardt est une absurdité. « Ce laboratoire n’est pas à McGill ou à l’UQAM et les levures ne se qualifient pas en tant que modèle animal pertinent. Ceci est important. « En ce qui concerne les toxines de moisissures et les champs électromagnétiques, de très petites choses peuvent changer selon la façon dont on produit une toxine, par exemple la vitesse à laquelle la culture sèche est différente dans une étuve par rapport à une condition ambiante (car cela change l’activité de l’eau du milieu). La lumière par rapport à l’obscurité change aussi des choses. Les toxines prennent beaucoup d’énergie à pour produire et il y a des limites à ce qui peut être produit. Si cette étude est publiée dans une revue scientifique, je ne peux pas le trouver. Je ne connais aucun chercheur suisse qui serait considéré comme parmi les meilleurs chercheurs de toxines fongiques en Europe. »
Qu’importe, plusieurs experts soupçonnent que de nombreuses maladies chroniques prenant des proportions épidémiques sont liées à la surexposition aux radiofréquences des appareils sans fil au 21e siècle. Par exemple :
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Salut André !
Merci pour tes messages pertinents .
Je fais suivre bien entendu !!!
Amicalement;
Claude SACCARO
Merci et continuer votre belle mission d’information.
Vos articles et vos références me serviront certes à bien des égards de recherches personnelles et d’informations autour de moi et des autorités de toutes gammes d’institutions gouvernementales, commerciales et sociétales..
Merci de votre gentillesse, M. Venne
Salutations cordiales
André